Elles ruissellent le long de tes joues,
Et inondent ton papier.
Encore une fois a bout,
Encore une fois en train de pleurer.
Chaque note qui sonne,
Amplifie cette sensation.
Près de toi y’a personne,
Pour soulager ta déraison.
Sujet récurent dans tes écrits,
Elle est la cause de ton mal être.
La solitude te pourri la vie,
Et te fait faire tellement de chose bête.
Des actes non réfléchis,
Impulsivité non contrôlée.
Connerie de jalousie,
Qui te fait t’enflammer.
Mais ne cherche pas d’excuses Quicky,
T’as juste à assumer.
Ces mots c’est toi qui les as écrit,
Tu ne peux pas te défiler.
Plutôt que d’apprendre a maîtriser ce défaut
Tu le laisses te dominer
Tu « parles » plus vite qu’il ne le faut
Et les réactions à la con tu les laisses filer.
Tu as encore dis n’importe quoi,
Toujours de plus en plus pathétique.
Tu as dénoncé une vérité que toi seul vois,
Car c’est toi qui la fais naître espèce d’hypocrite.
Alors plutôt que de chercher un responsable,
Pour te dédouaner de toutes tes fautes,
Va donc faire un tour au diable…
Et fout un peu la paix aux autres.
Et n’espère pas que s’est avec ces quelques vers,
Que je vais te pardonner.
Cette fois tu as été trop loin mon p’tit père,
Et je ne suis pas disposée a effacer.
Alors retourne dans ta misère
Celle dans laquelle j’aurais du te laisser
Plutôt que de t’offrir naguère,
Un coup de main pour te relever.
Elles ruissellent le long de tes joues,
Et inondent ton papier… Et c’est bien fait.
Mais cette fois ci avoue,
Que c’est ta stupidité qui te fait pleurer.
Tu n’es qu’une espèce de minable
Et si près de toi y’a personne,
Tu en es le seul responsable,
T’es assez con pour rejeter ce que l’on te donne.