Le matin se lève et tu es toujours dans mes bras.
La nuit fut douce et agréable sans pour autant souiller les draps.
Nous nous somme contenté dormir collé l'un a l'autre ,
Respirant a l'unission il ne me fallait rien d'autre.
Le matin se lève et mes bras sont une enclave.
Tu peux en sortir, tu n'es pas mon escalve.
Je voulais juste te proteger en cette nuit passé,
Repousser tes cauchemards et tes vilaines pensées.
Le matin se lève et pourtant je suis encore dans un reve.
J'ai du mal a croire que tu sois bien réel.
Quel acte héroique ai je bien pu accomplir,
Pour que la vie m'offre la chance de pouvoir compter tes soupirs ?
Le matin se lève et la soleil eclaire ton visage.
Je contemples cette beauté qui surpasse tout les paysages.
La nature a pour toi accomplit sa plus belle réussite,
Ta beauté est a peine égalée par celle des fées du monde fantastique.
Le matin se léve et tes paupières s'ouvrent peu a peu.
Le soleil me semble bien fade face a l'éclat de tes yeux.
Je me noyerais volontier dans leur bleu si profond,
J'y rejoindrais toutes ces âmes qui y ont perdue leur raison.
Le matin se lève et tu me souris.
Je viens a embrasser ces levres si jolies.
Celle la meme qui hier soir me chuchotaient des tendresses,
Que j'écoutais comme le message divin de ma déesse.
Le matin se lève et nous ne faissons que de nous regrader.
Notre complicité n'a pas besoin de mots pour s'exprimer.
Mon regard te dit "Merci pour cette magnifique nuit.",
Le tiens me répond que tu te déespère qu'elle soit deja finie.
Le matin se lève et nous commencons une nouvelle journée.
Toi et moi nous savons qu'elle va etre notre unique pensée.
Nous trépignerons d'impatiance jusqu'a ce que l'on touche,
Le moment ou mes vers commencerons par "le soleil se couche...".
(Je suis prolixe la nuit quand je ne dors pas...
)